Raphaël Prenovec

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Les métamorphoses du zèbre

Le zèbre, c’est tout un monde. L’apparence visuelle de sa robe bigarrée renvoie à la complexité et à la bizarrerie de l’artiste que je suis. Le monde dans lequel j’évolue est fait de couleurs et j’exerce avec elles un rapport intime de compréhension et d’incompréhension. Je parle avec les couleurs et les couleurs me parlent. Je décrypte leurs attitudes et analyse leurs comportements à la manière d’un éthologue, avec cette différence que je suis peintre. Les rayures noires et blanches de leurs p1 Le zèbre, c’est tout un monde. L’apparence visuelle de sa robe bigarrée renvoie à la complexité et à la bizarrerie de l’artiste que je suis. Le monde dans lequel j’évolue est fait de couleurs et j’exerce avec elles un rapport intime de compréhension et d’incompréhension. Je parle avec les couleurs et les couleurs me parlent. Je décrypte leurs attitudes et analyse leurs comportements à la manière d’un éthologue, avec cette différence que je suis peintre. Les rayures noires et blanches de leurs poils et de leurs crins s’organisent dans une figuration très personnelle et deviennent l’expression de mon espace intérieur et non pas la représentation d’une réalité extérieure. La difficulté de mon travail consiste à sortir du figuratif par la figuration de la nature animale pour explorer mon espace intérieur et exprimer tout sauf la réalité extérieure.
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Créé avec ArtMajeur